Rédaction : Loris Vitry (coach personnel)
Supervision : Cathy Maillot (ostéopathe)

Avertissement : Pour votre santé, référez-vous obligatoirement à votre médecin.


La congestion cérébrale ou encore accident vasculaire cérébral est un déficit neurologique qui touche de plus en plus d’individus.

À l"origine de ce problème de santé, plusieurs facteurs sont identifiés, dont le stress.

Découvrez dans cet article en quoi le stress peut-être une cause de la congestion cérébrale, ses conséquences et comment y remédier.

Congestion cérébrale et stress : symptômes et conséquences ?

Le stress et les accidents vasculaires cérébraux

Le stress n’est qu’une réaction naturelle de l’organisme à un stimulus extérieur.

Ce stimulus est perçu par le corps comme une menace.

En effet, face à une situation menaçante comme un saut en parachute, le cerveau enverra des signaux aux glandes surrénales.

Le message provoquera au niveau de ces glandes une sécrétion d’hormones que sont : l’adrénaline et le cortisol qui mettent le corps en position défensive.

Ainsi, on observe une accélération de la cadence de respiration, de la vitesse de battements du cœur, de même que la pression artérielle.

Quand une personne est stressée presque régulièrement ou tout le temps, on parle de stress chronique.

Dans ce cas, l’individu reste dans le même état défensif, ce qui peut avoir un impact négatif sur sa santé.

Ainsi, le stress peut affecter le corps et provoquer une congestion cérébrale.

Les vaisseaux sanguins, exposés pendant longtemps à une pression artérielle très élevée, vont progressivement s’endommager au niveau de la paroi.

Cette détérioration augmente les risques de maladie cardiovasculaire, d’athérome, d’anévrisme et d’AVC.

Par la suite, la grande production d’adrénaline va entraîner une activation des plaquettes du sang, occasionnant une entrave des artères dans le cerveau.

L’individu aura alors un AVC.

Les symptômes et conséquences associés aux congestions cérébrales

Une congestion cérébrale survient presque toujours brusquement, mais dans certains cas, une attaque ischémique transitoire peut être un facteur préventif.

Cette attaque est un mini-accident vasculaire cérébral.

Puisque l’AVC survient soudainement, ces symptômes ne durent pas longtemps : quelques minutes ou quelques jours, parfois.

Les principaux symptômes sont :

  • une catalepsie ou un engourdissement inopiné qui touche généralement la moitié du corps au niveau du bras, de la jambe et du visage ;
  • la perte brusque de la vue sur un œil ou une vue en double ;
  • une soudaine apparition d’un mal de tête violent et insupportable ;
  • une difficulté à s’exprimer et à comprendre ce qu’on dit ;
  • une perte soudaine de l’équilibre.

Pour la plupart des personnes qui ont eu déjà un AVC, la récupération est vraiment significative.

Par contre, il a pour conséquence de laisser des handicaps terribles chez d’autres.

Ainsi, il peut provoquer une paralysie définitive et entraîner un trouble du langage, un déficit dans les capacités cognitives.

La congestion cérébrale peut aussi affecter les émotions.

Ses séquelles sont très lourdes et irréversibles.

Les fonctions neurologiques atteintes sont la mobilité, la vue, la parole ainsi que d’autres sens.

La réinsertion des personnes affectées est donc très difficile.

Les solutions pour éviter une congestion cérébrale due au stress

Pour éviter que le taux de stress monte, atteigne un stade de stress chronique et provoque un AVC, plusieurs méthodes existent.

L’une d’entre elles est le positivisme.

Être positif et optimiste à tout moment réduit les risques de stress et donc d’accident.

D’après une étude, le rire est un excellent déstressant.

Une autre solution très efficace pour réduire votre stress est la méditation.

Pratiquer des exercices de respiration et faire des intériorisations permet de se détendre et de s’isoler des problèmes qui vous entourent.

Par ailleurs, les exercices physiques permettent au corps de secréter des hormones comme l’endorphine qui stimule la bonne humeur, réduit le stress et la tension artérielle.

D’autres méthodes comme la lecture, la musique et des bains peuvent réduire votre stress.

Le stress n’est pas une des principales causes entraînant une congestion cérébrale, mais il favorise le développement des facteurs à risque.

Les exercices de respirations sont un excellent moyen pour diminuer le stress et donc d’éviter le développement d’éléments à risque pour avoir un AVC.


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Catégorie : Santé

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